À propos
Pourquoi Les 2 Ponts ?
Pour répondre à cette question, votre serviteur avait envie de détailler et déverminer un peu tout le contexte ayant mené à l’ouverture d’un nouveau média … après 10 ans d’activités diverses et variées dans le secteur (avec quelques discontinuités..) ((voir l’à-propos d’Arnaud))
En résumé, on peut bien dire que l’Autodrome de Linas-Montlhéry a été un fil rouge dans ma vie automobile : base d’essais et mesures de presse auto via l’Auto-journal, puis lieu d’un an d’alternance, et de tant d’évènements dont on est resté bénévole de l’équipe d’organisation. J’avais envie d’associer l’Autodrome à ce projet d’ouverture d’un média propre : voici un lieu ô combien magique et mythique qui a porté tant d’innovation, de passion de l’automobile et de records, au sein de notre beau pays, pour le faire rayonner dans le monde ! On a ce genre d’émotion similaire avec Le Mans …
Parmi tous les virages du circuit, que ce soit le routier ou le “3,405 km” des évènements, “les 2 ponts” était le nom le plus littéraire… Aussi, il fait la liaison entre le 3.405 et le circuit routier, globalement réservé à la mise au point dynamique des constructeurs. Epingle serrée, après la longue première ligne droite, il peut être quelque peu “challenging” ! Et puis, nous aurons aussi envie de former le pont, les ponts, entre deux époques automobiles : la conduite analogique, les sensations à l’ancienne, le bruit et l’odeur du thermique, aux nouvelles contraintes de l’époque moderne : véhicule autonome, aides à la conduite, électrification, recharge lente/rapide, prise de poids, … Aussi, les 2 ponts, cela fait aussi penser aux deux ponts, avant et arrière, d’une auto !
Arnaud : La crainte,étant petit, que la conduite : “ça soit pas si fantastique”. Et pourtant, aujourd’hui, un plaisir sans cesse renouvelé !
Enfance et scolarité
Commençons par le commencement … l’enfance ! Adressons alors un clin d’oeil aux podcasts Dans la Boite à Gants & Histoires d’Autos ! De notre quotidien dans l’automobile, découlent souvent des histoires du passé .. Allons-y.
Sans trop rentrer dans les détails, mes deux grands-pères étaient passionnés d’automobile. L’un plus pour la passion du bel objet, comme pour les montres et les appareils photo (cela parlera à un certain nombre par ici !) ; l’autre davantage pour “la machine” : la vitesse, le progrès, la sonorité d’un beau moteur, l’image de marque ou d’un badge particulier, M par exemple … A l’époque, dans les années 90, je vivais peu cette passion. Hormis pour reconnaître la grande majorité des autos dans la rue, ma passion de l’auto ne m’apportait pas grand chose … Il allait falloir que cela change.
Pendant ma scolarité, je gardais globalement beaucoup l’auto pour moi … L’auto étant trop le basique et presque vulgaire “vroom vroom” des jouets miniatures des petits enfants.. Sinon le déplaçoire monospace qui sert à emmener les enfants à l’école, avant d’aller chez Auchan. (mais les 806 Eden Park et Roland Garros, c’était quand même la classe !) Pas extrêmement flatteur, comme constat, n’est ce pas. Dès mes toutes premières années, l’Auto-Journal était définitivement un fil rouge de ma passion auto, devenu abonnement, qui ne m’a jamais quitté ; bientôt 30 ans ! Forte partie essais, très généraliste et diverse, spécialistes, et surtout … ces fameux “essais 10000 kms” conçus pour détecter toutes qualités, faiblesses, des nouveautés sur le marché, à travers tant de paysages de rêve, en France voire en Europe. La presse auto, ce moyen formidable d’accéder à tant d’autos, et de changer sans cesse ! Souvenir d’un DVD “hors-série” qui montrait tout l’envers du décor, pour un sujet Porsche 911 997 Cabriolet .. Les mesures de consommation, de comportement et de performances à l’Autodrome de Linas-Montlhéry… mythique. J’étais bien loin d’imaginer que je m’en rapprocherais tant…
A “l’AJ”, on ne peut oublier d’ajouter l’iconique émission Turbo, de M6, bien sûr. Turbo, dans les années 90-2000, c’était évidemment samedi soir, 19h05. A ne jamais louper, les programmations d’enregistrements étant alors mises en place illico, et ne jamais louper l’actu auto vue par messieurs Chapatte, Rastoder, Drevet et Bruet. Le changement de formule, plus long, le dimanche matin ; l’éloignement de la “télé”, me feront un peu lâcher l’affaire.. au contraire du contact avec la presse papier : achats momentanés au kiosque de la gare, aux fidèles numéros dans la boite aux lettres. Ce genre de “moment de qualité” que l’on n’aura pas équivalent sur Internet.
Pendant ce temps, quand on s’émerveillait devant une rare Ferrari 360 Modena dans les rues lyonnaises … et qu’on suivait avec grand intérêt la fameuse Course de Côte du Mont Verdun, (Limonest), je me mettais à “faire les parkings” pendant les vacances. Késako ? Repérer les belles autos sur les parkings des restaurants, sur les côtes Méditerranée comme Atlantique ; revenir en fin de soirée pour les entendre démarrer et repartir ! L’activité a un terme moderne désormais : le carspotting … De quoi donner des sueurs froides à quelques propriétaires de pépites, à l’approche des grands hôtels, de Paris à Monaco.
Lors de la scolarité, l’automobile était presque mot interdit dans toutes ces périlleuses démarches d’orientation. Médecin, militaire, vétérinaire, commercial … que de métiers plus simples, mais pourquoi faire simple ? Et un reproche qui m’a profondément marqué d’une professeur d’histoire, sur une dissertation : “langage journalistique, qui n’a pas sa place ici”. Et pour cause ! Des premières rédactions que j’avais plutôt plaisir à faire, si tant est que le corps enseignant ne puisses m’en décourager …
Des médias à la R&D … aux médias.
Puis nous arrivons dans les années 2010. Là, l’automobile qui n’était que matière à spécialistes, envahit les grands médias généralistes. Radars florissants, bonus/malus, prémisses de tracage du moindre gramme de CO2… il n’est déjà plus bon d’être passionné d’automobile. Tant d’attaques à cette passion, sans pouvoir en parler vraiment… il fallait essayer de se rapprocher des médias automobiles. Quand des sonorités de 130i ou 430 Scuderia intégraient le téléphone de votre serviteur, il fallait trouver le “cercle des bagnolards anoynymes”…
J’ai alors pu découvrir, au départ de ma formation automobile qu’on pouvait intégrer le milieu par des blogs, et jeune ; “merci JB !” L’aventure démarre alors par un long échange au Café de l’Europe, à Paris, avec un certain fondateur de “POA“. “Rejoindre les médias auto aujourd’hui ? Quelle drôle d’idée ! ” Echange enrichissant, un premier sujet sur le site, et quelques candidatures pour un premier stage en presse auto, à l’Automobile Magazine. C’est “l’AM” qui me fera découvrir le Mans, quelques jours avant une épreuve des 24h, et le fameux Montlhéry, en toute surprise…
Motorsport Magazine, au QG lyonnais, suivra, l’année d’après, avec un peu d’animation réseaux sociaux complémentaire.
Je découvrais aussi sur Autotitre ma première collaboration durable : Abcmoteur. Equipe jeune, pleine d’entrain et d’idées, et beaucoup de belles opportunités auprès des constructeurs : les essais prenaient alors un nouveau souffle. Quelle époque !
Une intense collaboration média qui a sans doute quelque peu éloigné l’ambition d’une carrière d’ingénieur … que de compromis. Ayant quitté la Seine dans le 92, je découvre la Loire dans le 45, et une poursuite alternative de ces études automobiles. Après deux tentatives hélas manquées de si peu au 75 avenue de la Grande Armée, Paris, fief de PSA, je reviens sur notre Autodrome chéri pour une alternance à l’UTAC-CERAM d’un an. Aides à la conduite, scénarios d’essais EuroNCAP, freinage automatique d’urgence, mannequins piéton, vélo, maintien dans la voie … n’auront plus beaucoup de secrets pour moi. Et l’on profitait du développement sur les pistes locales d’une certaine Alpine A110 … merveille française. S’en est suivi, en suite logique, trois ans chez AKKA Technologies, prestation en ingénierie, dans le département véhicules autonomes. L’occasion de découvrir l’envers du décor de démonstrations “VA” publiques, avec éventuellement de sacrés VIP en prévision. Mais encore de faire fusible face à des Renault Zoé autonomes, pendant leur développement : intervenir au volant en cas de perte de contrôle du véhicule, perte de GPS, et affiner subjectivement le comportement d’un véhicule automatisé .. avec les attendus et expériences de conduite “manuelles” ! Las, le Covid n’a pas épargné l’industrie, notamment automobile. Le risque et le coût de l’automatisation ont montré leurs limites … et ont assez vite été reléguées au second plan, derrière les amples plans d’électrification de l’offre.
L’Autodrome, le fil rouge?
Une intense collaboration média qui a sans doute quelque peu éloigné l’ambition d’une carrière d’ingénieur … que de compromis. Ayant quitté la Seine dans le 92, je découvre la Loire dans le 45, et une poursuite alternative de ces études automobiles. Après deux tentatives hélas manquées de si peu au 75 avenue de la Grande Armée, Paris, fief de PSA, je reviens sur notre Autodrome chéri pour une alternance à l’UTAC-CERAM d’un an. Aides à la conduite, scénarios d’essais EuroNCAP, freinage automatique d’urgence, mannequins piéton, vélo, maintien dans la voie … n’auront plus beaucoup de secrets pour moi. Et l’on profitait du développement sur les pistes locales d’une certaine Alpine A110 … merveille française. S’en est suivi, en suite logique, trois ans chez AKKA Technologies, prestation en ingénierie, dans le département véhicules autonomes. L’occasion de découvrir l’envers du décor de démonstrations “VA” publiques, avec éventuellement de sacrés VIP en prévision. Mais encore de faire fusible face à des Renault Zoé autonomes, pendant leur développement : intervenir au volant en cas de perte de contrôle du véhicule, perte de GPS, et affiner subjectivement le comportement d’un véhicule automatisé .. avec les attendus et expériences de conduite “manuelles” ! Las, le Covid n’a pas épargné l’industrie, notamment automobile. Le risque et le coût de l’automatisation ont montré leurs limites … et ont assez vite été reléguées au second plan, derrière les amples plans d’électrification de l’offre.
C’est ainsi que mes activités média automobiles sont passées au premier plan, avec diverses collaborations écrites, Internet et presse papier, qui perdurent aux côtés de ce nouveau projet.
C’est ainsi que mes activités média automobiles sont passées au premier plan, avec diverses collaborations écrites, Internet et presse papier, qui perdurent aux côtés de ce nouveau projet.
De la CX à la Chiron
Une passion née très tôt
Ma passion pour l’automobile a commencé avant même ma naissance, selon mes parents. Ils racontent souvent que j’étais particulièrement agité en voiture, comme si le mouvement et les vibrations me faisaient déjà sensation de l’intérieur. Dans ma famille, mon père et mon grand-père paternel partageaient cette passion. Mécanicien dans l’âme, ce dernier aimait démonter et remonter sa Fiat 500 d’époque, juste pour s’assurer que tout fonctionnait parfaitement. Grand amoureux des Citroën avant-gardistes, il possédait une CX GTi Turbo 2 et une Citroën SM, des véhicules qui font encore partie de notre héritage familial. Cet homme, adepte de la suspension hydraulique, m’a transmis bien plus que des connaissances mécaniques : il m’a inculqué une fascination pour l’ingéniosité et le design automobile tout en regardant les voitures avec un œil passionné dans les détails techniques et de design.
Mes premiers souvenirs d’automobile se mêlent aux trajets matinaux vers l’école dans la Renault 21 2L Turbo de mon père. Chaque accélération, chaque enclenchement du turbo me plongeaient dans un univers magique. À cela se sont ajoutés les jeux vidéo comme Test Drive, Forza et Gran Turismo, qui m’ont fait découvrir de nouveaux modèles et marques, et bien sûr, les magazines automobiles, que je dévorais comme des bibles.
Ma période préférée dans l’histoire de l’automobile se situe entre la fin des années 80 et 2010, une époque où les voitures étaient belles, avec des mécaniques d’anthologies, et des déclinaisons sensationnelles. Pour moi, l’important dans une voiture n’est pas seulement la performance, mais l’histoire qu’elle raconte, son design, sa mécanique et surtout, le plaisir qu’elle procure au volant. Chaque voiture a quelque chose d’unique, et parfois celles qui nous semblent sans intérêt aujourd’hui, peuvent devenir nos favorites demain. En tant que possesseur d’une Z4 Coupé 3.0si, c’est un choix atypique et qui marque ma passion pour la marque à l’hélice.
Mes débuts dans la création de contenu
C’est avec Alex, un ami photographe automobile, que j’ai fait mes premiers pas dans la création de contenu. Ensemble, nous avons réalisé quelques projets pour une concession, et c’était incroyable : imaginez, à 20 ans, avec un permis probatoire, avoir entre les mains une voiture d’une valeur de 120 000 € pour la photographier dans des lieux fantastiques ! Ce fut une expérience marquante, un véritable déclic. Après le confinement de 2020, j’ai décidé de me lancer sur les réseaux sociaux pour partager ma passion, en essayant des voitures, en rencontrant d’autres passionnés et en vivant des expériences uniques.
Mes premiers essais de voitures ont commencé de manière assez improvisée. Je me souviens particulièrement de la Lancer Evo X d’une amie, que nous avons testée à la volée sur un parking de Cholet, lors d’une sortie entre amis. À l’époque, je n’avais pas de stratégie claire, mais c’est sur ce parking que tout a véritablement débuté. À partir de là, j’ai commencé à tisser des liens avec des propriétaires de voitures et à multiplier les essais, en acceptant que cela prenne du temps, avec des refus et des silences, mais aussi de belles opportunités.
Au fil du temps, j’ai marqué mes premières collaborations avec des professionnels, et cela m’a incité à repenser mon concept. Toujours centré sur Instagram, je me suis mis à produire des présentations plus élaborées, en intégrant des mini-articles en descriptions et des séries de photos détaillées, sous différents angles. Je tenais à garder une photo principale où je me tiens aux côtés de la voiture, symbole de ma passion et de l’expérience vécue.
De Cholet à Oxford, une aventure internationale
Après une courte pause due à des raisons personnelles, je suis reparti avec une nouvelle énergie et un œil plus affûté pour mes présentations. J’ai signé un partenariat avec Leuba Collection, un garage suisse gérant une impressionnante collection de voitures d’exception. C’est là que mon activité a pris une nouvelle dimension. Début 2024, je me suis retrouvé au volant de voitures incroyables comme une Chrysler Viper RT/10, une Aston Martin DBS, ou encore une Porsche 964 Turbo 3.3, dévalant les routes sinueuses d’un col suisse. Ces moments incroyables m’ont ouvert des horizons bien au-delà des frontières.
Ensuite, c’est en faisant une rencontre improbable dans une station-service que j’ai été propulsé en Angleterre. Un collectionneur, intrigué par mon travail, m’a invité à tester quelques-uns de ses modèles. C’est ainsi que je me suis retrouvé au cœur de la campagne d’Oxford, au volant de voitures extraordinaires, dont une Bugatti Chiron Pur Sport, une expérience qui restera gravée dans ma mémoire.
Entre Instagram et la presse automobile
Bien que j’ai trouvé mon rythme sur Instagram, l’envie d’approfondir mes essais m’a poussé à vouloir écrire davantage. Grâce à une première discussion hasardeuse avec Arnaud sur mes ambitions, j’ai eu l’opportunité de contribuer à un média auto et de publier des articles complets, dans lesquels je peux enfin m’exprimer sans limite de caractères. Cette nouvelle aventure me permet d’offrir à mes lecteurs et followers une immersion totale dans chacun de mes essais, en combinant des récits détaillés, des photos soignées et une analyse poussée de chaque véhicule. La transparence étant le mot d’ordre pour faire mes articles, je souhaite que chaque immersion soit fidèle et faire ressortir les qualités ou les défauts des modèles essayés.
Je n’aurais jamais imaginé, il y a quelques années, que cette passion m’emmènerait à parcourir tant de kilomètres et à faire des rencontres aussi extraordinaires. Aujourd’hui, avoir ma propre section dans un média auto est l’aboutissement d’un rêve. Comme le disait Enzo Ferrari : “Si vous pouvez le rêver, vous pouvez le faire.”
C’est ainsi que mes activités média automobiles sont passées au premier plan, avec diverses collaborations écrites, Internet et presse papier, qui perdurent aux côtés de ce nouveau projet.
Olivier : du droit à l’automobile
Obélix est tombé dans la potion magique quand il était petit ? Eh ben, moi c’est dans la passion automobile, d’ailleurs selon une légende familiale assez tenace je savais dire « Senna » avant « Papa »…. Cela résume pas mal de choses, non ?
Attiré par les bagnoles légères à la fiabilité aléatoire (j’ai longtemps usé mes vêtements d’enfant dans le siège passager d’une TVR Taimar puis d’une TVR Griffith 500), c’est donc naturel que je sois devenu propriétaire d’une Lotus Elise.
Ce que j’aime dans l’automobile ? Son histoire, son évolution, sa transformation, son utilité, et… son inutilité également. C’est un objet de passion mais aussi un objet de raison. Je vais donc autant apprécier essayer et écrire à propos d’une citadine d’un constructeur généraliste que d’une obscure série limitée d’un constructeur confidentiel ou d’une évolution technologique à venir.
En bref ? J’arrive tout autant à me souvenir qu’une Z3 2.8 sortait 192 chevaux et non 193 comme la série 3 qui lui était contemporaine, que de la puissance des Clio 2 dci ayant un marquage incluant un « i » gris, bleu ou rouge. Est-ce pathologique ?
J’ai évidemment un faible pour les voitures légères, efficientes mais surtout pleines de caractères. Mon garage idéal ? Une 406 coupé V6, ma Lotus Elise et une BMW i3S. Bon ça c’est pour aujourd’hui car demain il y aura sûrement un V6 Busso. Et après demain un 6 cylindres en ligne.
Arrivé par un heureux hasard dans ce drôle de monde des médias automobile, vous pouvez être certains d’une chose : je serai toujours transparent. Si je trouve une technologie, une orientation politique ou bien une voiture passionnante ou inintéressante, mauvaise ou excellente, voire même un peu tout ça à la fois : je ne m’en cacherai pas.
Aujourd’hui plus que jamais : vive la bagnole !
Remerciements
Je tiens à remercier Jean-Baptiste, Renaud, Stéphane, Alexandra, Ivan, Philippe, Gaël, Christophe, Johann, Arthur, Anouk … Maxime, Clément, Nicolas, Yannick, les équipes de Charles Pozzi Paris, Adrien, Toma, Jack, Michaël, Matthias, Bruno, Olivier, Patricia, Bertrand, Nourhène, Benjamin,Philippe, Yvaneck, Nicolas (x2!), Soufyane, CP Presse, Victor, Pierre, David (x2), Pierrick, Thibaut, Vincent, le LBA Social Club, mes proches, famille, amis, pour tant de conseils, d’expériences média, de confiance accordée, et de ce qui forme et formera les pierres des 2 Ponts.
Pour la construction du site, je remercie grandement Hélène, graphiste, via notre cher Florian : graphiste proche de l’automobile, elle a su me réaliser ce superbe logo et la charte graphique L2P, à la frontière de Montlhéry et du monde des berlinettes françaises … Un grand merci également à Benoit de WPHelp, via Marc, pour tant de conseils et l’établissement du site. Une belle expertise, tant de détails abordés ensemble. Rien de laissé au hasard.. Merci.
Enfin, Les 2 Ponts, c’est d’ores et déjà une équipe. Merci à Olivier et Aurélien de me prêter main forte. Olivier sera transverse, orienté essais et intéressé par les défis de l’électrique. Aurélien, plus sur le côté spectaculaire d’autos iconiques thermiques, dont il vous partagera quelques sensations.
Les 2 Ponts est un média qui nous permettra librement de vous proposer avant tout ce qui nous fait plaisir … de vous faire découvrir de près l’actualité automobile, les évènements majeurs, mais aussi les médias qui nous inspirent, qui nous font rêver. Les configurations que l’on rêverait d’avoir dans le garage … et tant d’histoires d’hier et d’aujourd’hui sur l’auto, et Montlhéry.
Montlhéry, qui donne le nom d’un de ses virages à notre média : l’intersection du circuit évènement 3.405 et le circuit routier, cette épingle très serrée, stratégique, suivant la partie la plus rapide du circuit.. Montlhéry, fil rouge d’une partie de ma vie professionnelle, d’amitiés, de beaux moments automobiles le week-end, fil rouge aussi de l’auto d’hier, de records passés, mais aussi des progrès et de l’innovation de demain.